la Mandragore
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la Mandragore
Ce magasin est situé dans le quartier de North End de Boston. Fondé en 1882 par la chinoise Ohinira Wang, ce lieu était à la base une ruine sans nom. Grâce à une importante somme d'argent, elle a pu le reconstruire avec quelques ouvriers chinois et en faire ainsi l'un des hauts lieux de l'occultisme de ville de Boston. De l'extérieur, rien n'indique qu'il s'agit d'un magasin lié à à l'ésotérisme et à la magie...
En revanche, ce qui choque le client qui ose entrer dans cette échoppe qui ne paie pas de mine (il n'y a qu'une enseigne au dessus de la porte, flanquée du simple nom de la boutique) c'est avant tout le changement de lumière et les odeurs fortes d'encens qui l'assaillent. Le velours des rideaux rouge, les bougies et la vitrine teintée plonge les clients dans un autre monde à la fois inquiètant et mystérieux.
Le magasin est constitué un gigantesque bric à brac composé de statues de bouddha, pendules en tous genres, livres d'ésotérisme, boules de cristal, boites de thé et produits chinois, bougies de toutes tailles et de toutes les couleurs, tablettes de oui ja, jeux de cartes de tarot divinatoire, calices, encensoirs, runes, pattes de poulet, pendentifs magiques et des myriades de livres. Ses étagères sont particulièrement bien rangées et une lumière rouge baigne l'ensemble de la pièce. La vieille Ohinira se tient le plus souvent, et malgré sa petite taille, derrière un comptoir en bois, bien épousseté par le jeune Will Sampson. Sur le meuble, entre les crânes, les bocaux remplis de poudres indéterminées, les colifichets ésotériques et les attrapes rêves, trônent un antique boulier et une photographie de Patrick de Saint Yves en compagnie d'un jeune indien.
Les étagères envahissent tout l'espace et il est très dur, pour un client de circuler et se retourner sans déplacer un objet ou un talisman qui pend à un présentoir. Il est également curieux de voir se côtoyer des ustensiles magiques issus de toutes les cultures de la planète de la Chine, bien sûr, à l'Inde en passant par la culture native américaine et africaine. Pour un non initié, tout le stock de la vieille femme n'est qu'un innommable bazar sans valeur. Pour un regard exercé, tous ces objets sont d'authentiques reliques venues du monde entier et ne correspondent en rien aux faux trésors qui encombrent les cabinets de curiosité des riches et naïfs collectionneurs bourgeois.
En revanche, ce qui choque le client qui ose entrer dans cette échoppe qui ne paie pas de mine (il n'y a qu'une enseigne au dessus de la porte, flanquée du simple nom de la boutique) c'est avant tout le changement de lumière et les odeurs fortes d'encens qui l'assaillent. Le velours des rideaux rouge, les bougies et la vitrine teintée plonge les clients dans un autre monde à la fois inquiètant et mystérieux.
Le magasin est constitué un gigantesque bric à brac composé de statues de bouddha, pendules en tous genres, livres d'ésotérisme, boules de cristal, boites de thé et produits chinois, bougies de toutes tailles et de toutes les couleurs, tablettes de oui ja, jeux de cartes de tarot divinatoire, calices, encensoirs, runes, pattes de poulet, pendentifs magiques et des myriades de livres. Ses étagères sont particulièrement bien rangées et une lumière rouge baigne l'ensemble de la pièce. La vieille Ohinira se tient le plus souvent, et malgré sa petite taille, derrière un comptoir en bois, bien épousseté par le jeune Will Sampson. Sur le meuble, entre les crânes, les bocaux remplis de poudres indéterminées, les colifichets ésotériques et les attrapes rêves, trônent un antique boulier et une photographie de Patrick de Saint Yves en compagnie d'un jeune indien.
Les étagères envahissent tout l'espace et il est très dur, pour un client de circuler et se retourner sans déplacer un objet ou un talisman qui pend à un présentoir. Il est également curieux de voir se côtoyer des ustensiles magiques issus de toutes les cultures de la planète de la Chine, bien sûr, à l'Inde en passant par la culture native américaine et africaine. Pour un non initié, tout le stock de la vieille femme n'est qu'un innommable bazar sans valeur. Pour un regard exercé, tous ces objets sont d'authentiques reliques venues du monde entier et ne correspondent en rien aux faux trésors qui encombrent les cabinets de curiosité des riches et naïfs collectionneurs bourgeois.
Invité- Invité
- Mer 20 Nov 2013 - 11:53
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